Un jour dans sa carrière d’assistante comptable salariée, Laurence dévale les escaliers à toutes vitesses, motivée par la sonnerie du téléphone, elle manque de côtoyer le sol de trop près mais ne manque pas l’appel.

OUF 😌 !

Pourtant, une question lui reste, comment font les dirigeantes seules pour assurer leurs missions quotidiennes et s’occuper du standard téléphonique ?

Cette question, d’autres l’ont posée avant elle…

1891 :

Le réseau téléphonique n’était pas automatique, des professionnelles étaient chargées de mettre en lien les correspondant(e)s les un(e)s avec les autres, on les appelait les « demoiselles du téléphone ».

Les « demoiselles du téléphone » étaient fonctionnaires et elles travaillaient dans des centraux téléphoniques où elles se dédiaient exclusivement au téléphone.

Déjà à cette époque, la demoiselle du téléphone avait une utilité toute spécifique et Madeleine Campana, l’une d’entre elles, le retranscrit bien dans ses écrits.

1979 :

Le réseau téléphonique devient automatique et la profession de « demoiselle du téléphone » disparaît.

Pourtant, un constat est fait sur le plan professionnel : les personnes qui appellent ne laissent pas de messages sur le répondeur ! La permanence téléphonique est née.

Exercer son activité en tant qu’indépendante, c’est avoir plus d’autonomie mais aussi plus de responsabilités. C’est aussi devoir se consacrer à des tâches pour lesquelles on n’est pas formée.

Un secrétariat externalisé fait ce que vous n’avez ni le temps, ni l’envie de faire, tout en gardant la liberté de votre statut : celui d’indépendante.