Laurence MADELEINE,
fée opératrice chez
« D’une ligne à l’Autre »
1990 : Laurence en est au début de sa carrière de secrétaire, ses journées répondent au rythme de la sonnerie du téléphone, de la frappe de courriers et de la venue des client(e)s.
À cette époque, l’entreprise a choisi l’option boîte postale. Laurence s’y rend tous les matins, elle récupère le courrier, une fois rentrée, le date et le distribue à tous les services.
De l’établissement du devis à la facturation, Laurence s’assure que tous les contrats soient honorés, elle procède même à la relance des impayés en se montrant parfois chez les client(e)s récalcitrants.
Mais, elle en veut plus.
Quand la comptable de l’entreprise est absente pour la première fois, une chance se présente. La quarantaine d’employé(e)s doit être payé(e)s et c’est ainsi que Laurence rencontre la paie. Sur le tas, elle apprend la comptabilité, en discute avec sa collègue, une envie s’attise et se concrétise par une inscription aux cours du soir.
2007 : Le temps a filé et Laurence a progressé.
Le téléphone sonne toujours, et la frappe de courriers lui revient à nouveau. Les relances, elles aussi sont là mais s’y ajoutent d’autres missions, celles d’une comptable.
Alors qu’elle est en relation avec les fournisseurs et les clients ; Laurence s’attèle à saisir les achats, les ventes, la caisse, la banque et les OD…
Elle collabore étroitement avec l’expert-comptable, participe aux situations trimestrielles et aide à l’établissement des bilans annuels.
En tant que comptable d’une petite entreprise, Laurence voit l’ardeur avec laquelle son gérant régente les affaires, le meneur qu’il sait être pour ses équipes. Elle le prend en exemple et voit naître en elle une autre envie, celle de devenir à son tour, la gérante d’une entreprise unique, qui n’appartiendrait qu’à elle.
2013 : Rien n’a changé dans les missions, si ce n’est l’environnement et l’entreprise qui est maintenant un cabinet comptable. Le lieu aussi, n’est plus le même. Laurence a quitté la Guyane, elle est désormais dans une Hexagone glaciale. Le téléphone sonne encore, il devient cet outil qui dérange mais que Laurence continue d’aimer, il est son point de contact avec la clientèle.
Les années ont passé et le besoin d’évolution se fait sentir, l’envie d’avant ne l’a pas quittée, la considération manque et une seule solution s’impose, celle qui a grandi sans germer : créer une son entreprise à elle.
06 février 2021 : Création de D’une ligne à l’Autre.
Laurence donne de la voix à vos absences.
Venez faire connaissance avec Laurence sur ses réseaux !
Maryne MADELEINE,
fée de la comm’ chez
« D’une ligne à l’Autre »
2008 : Un après-midi de vacances, Maryne découvre la série Drop dead diva, elle en devient fan. Le personnage de Deb réincarnée en Jane qui défend le juste devient alors un modèle. C’est décidé, quand elle sera plus grande, elle sera avocate.
2015 : Fidèle à cette série qui a rythmé son enfance, Maryne entame sa première année de licence de droit. D’abord attirée par le droit privé, elle finit par se convertir doucement au droit public, avec le droit de l’expropriation en favori.
2018 : La licence de droit touche à son terme et l’inclination pour le droit public se fait de plus en plus sentir puisque c’est la spécialité que Maryne choisit pour la rentrée de master, en septembre.
Mais une envie de changement, ou peut-être la volonté d’élargir les horizons de ses apprentissages pousse notre future fée de la comm’ à entrer à l’Université Panthéon-Assas, pas pour y faire du droit mais pour y découvrir les « Études politiques ».
2021 : Cette année-là marque l’achèvement de six années d’études, Maryne obtient son master en Septembre et rejoint l’équipe D’une ligne à l’Autre, en novembre.
Premier objectif : les publications et les réseaux sociaux mais le chantier est grand, donc elle finit par s’occuper de la communication dans son ensemble ainsi que la partie marketing, pour faire le lien entre vous et nous.
Une passion nait et elle obtient sa certification en « Marketing digital« .
Maryne aussi prête sa voix à vos absences, sa spécialité, c’est le droit.