Je ne serai pas la première à affirmer que la période covid a chamboulé nos vies, elle a introduit un instant qui dure encore, un questionnement qui persiste : doit-on vraiment dédier autant de son temps au travail alors que la vie est si furtive ?

Loin d’être le reflet d’une démoralisation, cette remise en cause collective est facteur de progrès. Alors que 84% des français(e)s accepteraient le passage à la semaine de 4 jours (étude Citrix), le rapport de synthèse des assises du travail publié en début de semaine ramène cette proposition dans l’actualité.

Et ce n’est pas qu’un effet de mode.

Le succès est total au Royaume-Uni, l’Espagne vient de l’adopter et des entreprises françaises l’ont expérimentée et en sont satisfaites. Déjà en 1996, la loi Robien prévoyait la possibilité de réduire le temps de travail contre exonération de cotisations.

Résultat ?

Moins de stress, accroissement de la productivité, meilleur équilibre entre la vie professionnelle et personnelle…

Et c’est le travail d’équipe qui a été la clé de ce passage à la semaine de 4 jours.

À coups de jours tournants et de binômes, d’une meilleure organisation à plusieurs, de collaborateurs polycompétents et parfois même en faveur de l’embauche, ce 3ème jour de repos s’instaure…

Mais pour les entreprises qui n’ont qu’un membre dans leur équipe, que de l’espoir : D’une ligne à l’Autre est à votre disposition pour faire de votre rêve de repos, une réalité grâce à l’allègement de votre charge administrative.

🧚🏾‍♀️Féériquement vôtre 🧙🏾‍♀️